Décidément il n’est pas une semaine, sans que le
radeau socialiste médusé n'aille de surprise en découverte, ne chavire, ni ne fasse état de son degré d’incapacité, tout
en montrant son visage répressif.
Dimanche dernier a eu lieu la manifestation
organisée par le collectif « Jour de colère », appelant tous ceux qui
ne supportaient plus l’incurie socialiste sur le plan économique et social, ni
les mensonges médiatiques, et encore moins la propagande visant à tailler en
pièces la structure familiale.
Ainsi, dans cette manifestation, on pouvait voir pêle-mêle des royalistes, des catholiques, des musulmans, de simples
citoyens et badauds. La France Black-Blanc-Beur contre le socialisme, le
libertarisme néfaste, le capitalisme effréné, le rouleau-compresseur mondialiste,
c’est pas beau ça ? Mais non, pour les médias c’est clair et net : ce
sont tous des fachos ! Pas une personne en dreadlocks, pas un abruti pour
montrer son postérieur et prouver ainsi que c’est un rebelle dans l’âme ;
bon il pleuvait certes mais quand même ; pas un joint dans la bouche de l’un des
manifestants, ni de vendeurs ambulants de sandwichs merguez-frites
ketchup-mayo, et des canettes de bières, et surtout des journalistes qui ont eu
peur pour leurs matricules… Plus de doute, la bête immonde est de retour,
bouh ! Et puis, la manif c’est un truc de gauche c’est bien connu. Sauf
que là, ce que certains appelaient le pays réel, réveillé à la faveur de
l’opposition au « Mariage pour tous » l’an dernier n’a pas dit son
dernier mot et a tenu à le faire savoir. Ce réveil, le pouvoir socialiste plus
répressif que jamais le sait très bien et n’y peut rien, d’où la haine et la
propagande plus que grossière de l’Establishment putride.
Cette semaine a eu lieu un évènement qui fit
vaciller l’école de Ferry-Tonkin, à savoir la Journée de retrait de l’école
mardi dernier, pour protester contre l’enseignement de la théorie du genre à
l’école. Le ministre Vincent Peillon, bâtisseur sincère de la cabine du Petit
Couchant, est monté au créneau, protestant de toute sa force contre ce
« fascisme parental », ce « carcan familial », ou que
sais-je encore, la novlangue socialiste ne manque pas d’ingéniosité en matière
verbale, et saura nous dégoter une trouvaille lexicale dont elle seule a le secret.
Vincent Peillon enjoint les chefs d’établissements de
convoquer les parents d’élèves ayant osé se soustraire ne serait-ce qu’une
journée à cette école qui marche sur la tête, fille naturelle de l’école de
Ferry-Tonkin, et prétend à qui veut l’entendre que l’école ne saurait enseigner
la théorie du genre, mais a pour mission d’enseigner l’égalité garçons-filles,
en comptant le nombres d’heures passés par les uns et les autres devant les
dînettes, poupées, avec un ballon de foot, ou des soldats de bois dans les
mains. La sénatrice socialiste Laurence Rossignol pour sa part prétend qu’elle
n’aurait jamais dit que les enfants n’appartiennent pas à leurs parents. Le pouvoir
socialiste aurait-il peur de ses convictions, et souhaite t-il garder un visage masqué
face à la vigilance croissante, devant la prise de conscience grandissante
des familles de France et de Navarre ?
Le député socialiste Christian Assaf lui va plus
loin, puisqu’il souhaite carrément poursuivre pénalement les parents ayant
retiré leurs enfants lors de cette journée, et arguant du fait que le temps
triangle rose était terminé. Voudrait-il instituer un triangle bleu ? Bleu
comme les couleurs de la Manif pour tous ? Bah ça alors, et le gauchisme
judiciaire, où est-il passé ? Serait-il réservé uniquement aux seuls
délinquants multirécidivistes ?
Ce pouvoir voudrait-il passer au stade
supérieur, l’intimidation, la persécution, la mise au ban de toute une partie
de la France, dont l’anthropologie refait surface, et ose de plus en plus sortir
de sa tanière enracinée, et pointe son museau chaleureux face à une idéologie
dominante glaciale et paralysante?
Plus que jamais, la vigilance reste de mise en
matière d’éducation, face à cette théorie de déconstruction grammaticale,
historique, et maintenant biologique, qui fait sombrer l’école chaque jour un
peu plus dans les méandres du néant mondialiste.
A part ça, il paraît que Nicolas Sarkozy va
revenir ! Sa politique économique n’est en rien différente de celle de son
prédécesseur, mais c’est pas grave, nous sommes donc sauvés ! Youpi !
Ceci dit, même lui ne passait pas les familles
françaises au kärcher, contrairement aux gauchistes. Comme quoi, ces derniers
osent tout, et c’est même à cela qu’on les reconnaît.
Anis Al Fayda
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire